Border Force prévoit de lancer une flotte de jet-skis de 55 mph pour patrouiller dans la Manche
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Border Force prévoit de lancer une flotte de jet-skis de 55 mph pour patrouiller dans la Manche et dissuader les bateaux de migrants
- Border Force veut maintenant ajouter quatre jet-skis Sea Doo pour aider à patrouiller dans la Manche
- Un nombre record de migrants ont risqué leur vie pour effectuer la traversée cette année
- Ses bateaux pneumatiques à coque rigide sont considérés comme un risque en «engagement rapproché»
Le Home Office veut acheter quatre navires Sea Doo GTX 170, chacun coûtant jusqu’à 20 000 £ et capable d’atteindre 55 mph.
Un nombre record de migrants ont risqué leur vie pour effectuer la traversée cette année, avec plus de 8 500 personnes qui auraient atteint la Grande-Bretagne – contre 1 850 l’an dernier.
La force frontalière britannique prévoit de lancer une flotte de jet-skis à grande vitesse pour patrouiller dans la Manche dans sa lutte pour dissuader les gangs de bateaux de migrants
En octobre, cinq membres d’une famille kurdo-iranienne se sont noyés après que leur bateau semi-rigide surpeuplé a coulé par mauvais temps.
Border Force veut les jet-skis parce que ses bateaux pneumatiques à coque rigide sont considérés comme présentant un risque en «engagement rapproché» car ils peuvent «monter sur un petit banc et risquer de blesser ceux qui se trouvent à l’intérieur».
Un contrat d’appel d’offres, publié par le ministère de l’Intérieur la semaine dernière, stipule que les jet-skis doivent avoir des «points de levage» pour aider les migrants à sortir des dériveurs.
Le Sea Doo GTX Fish Pro 170 est normalement vendu pour la pêche au gros. Après des essais avec deux jet-skis Sea Doo, Border Force veut maintenant en ajouter quatre à ses cinq bateaux de patrouille et six véhicules de patrouille côtière.
La semaine dernière, le ministre de l’Intérieur, Priti Patel, a accepté de payer à la France 28 millions de livres sterling pour doubler le nombre de ses officiers tentant d’empêcher les migrants de traverser la Manche.
Border Force veut les jet-skis parce que ses bateaux pneumatiques à coque rigide sont considérés comme présentant un risque en «engagement rapproché» car ils peuvent «monter sur un petit banc et risquer de blesser ceux qui se trouvent à l’intérieur»